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2035, quels changements pour l'industrie automobile

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En 2035, une nouvelle ère commencera pour l'industrie automobile en Europe. La législation récemment adoptée par l'Union européenne impose l'interdiction de la production de véhicules thermiques, c'est-à-dire ceux équipés de moteurs à combustion qui fonctionnent à l'essence ou au diesel. Objectif électricité pour tout le monde ! ⚡

Certes, cette mesure ambitieuse s'inscrit dans un cadre plus large de lutte contre le changement climatique et de transition vers une mobilité plus durable. Mais concrètement, vers quoi se dirige-t-on ? Quels changements sont à venir pour les prochaines années ? 🤔

L'ère de l'électrique et de l'hydrogène en 2035 dans l'industrie automobile

L'arrêt de la production de véhicules thermiques en 2035 s'inscrit dans une stratégie globale visant à lutter contre le changement climatique et à promouvoir des modes de transport plus durables. Cette initiative a pour but principal de réduire significativement les émissions de gaz à effet de serre et de pollution atmosphérique, en substituant les moteurs à combustion interne par des technologies plus propres, à savoir les véhicules électriques et à hydrogène. La magie de la chimie au service de l'automobile ! 🧪

La transition vers les voitures électriques et à hydrogène est motivée par la nécessité de diminuer l'empreinte carbone du secteur des transports, qui représente une part importante des émissions mondiales de CO2. Les véhicules thermiques, fonctionnant à l'essence ou au diesel, sont parmi les principaux contributeurs à ces émissions, engendrant non seulement du dioxyde de carbone mais aussi des polluants nocifs pour la santé publique, tels que les oxydes d'azote et les particules fines. 

Un impact économique et des créations d'emplois en 2035 dans l'industrie automobile ?

L'un des impacts les plus significatifs sera la transformation de l'industrie automobile elle-même. Les constructeurs devront investir massivement dans la refonte de leurs usines pour produire des véhicules électriques et à hydrogène. Ces investissements incluront l'achat de nouvelles machines, le développement de nouvelles technologies et l'adaptation des processus de production. Si ces coûts initiaux seront élevés, ils seront en partie compensés par la réduction des coûts opérationnels à long terme, car les véhicules électriques nécessitent moins de pièces mobiles et moins d'entretien que les véhicules thermiques. Jusque-là, c'est logique ! Pas de moteur, moins de risques de tomber en panne. 😏

L'investissement massif dans la recherche et le développement sera indispensable pour améliorer l'efficacité et la viabilité économique des véhicules électriques et à hydrogène. Cela inclut le développement de batteries à haute densité énergétique, plus durables et recyclables, ainsi que des technologies avancées de piles à hydrogène, qui devront être plus accessibles et plus performantes. Les efforts de recherche devront également se concentrer sur l'optimisation et l'amélioration des infrastructures de recharge et de ravitaillement en hydrogène. Avez-vous vu le prix d'une voiture à hydrogène aujourd'hui ? Oui.... c'est cher ! C'est pour cela qu'il faut démocratiser cette technologie avant de la vendre. ☝

Du côté de l'emploi, la transition vers des véhicules électriques et à hydrogène impliquera des changements majeurs. Si certains emplois liés à la production de moteurs à combustion interne disparaîtront, de nombreux nouveaux postes seront créés dans la fabrication de batteries, le développement de logiciels pour véhicules intelligents, et la maintenance des infrastructures de recharge. Les travailleurs devront acquérir de nouvelles compétences, et des programmes de formation et de reconversion seront essentiels pour assurer une transition en douceur. Pensons à nos pauvres mécaniciens avec leurs mains noires ! 😑

Une adaptation forcée des consommateurs en 2035 pour l'industrie automobile

Les consommateurs devront s'adapter à cette nouvelle réalité de plusieurs manières. Tout d'abord, ils devront envisager l'achat de véhicules électriques ou hybrides, qui deviendront les alternatives principales aux voitures thermiques. Les véhicules électriques, alimentés par des batteries rechargeables, offrent de nombreux avantages, notamment des coûts de carburant réduits et une maintenance généralement moins coûteuse. Cependant, ils nécessitent également une infrastructure de recharge adéquate, ce qui implique que les consommateurs devront s'habituer à planifier leurs recharges, surtout pour les longs trajets. De la panne d'essence à la panne de batterie, même calcul finalement non ? 😉

Ensuite, les habitudes de consommation devront évoluer. Les consommateurs pourraient devoir se familiariser avec les nouvelles technologies et comprendre les spécificités des différents modèles de voitures électriques disponibles sur le marché. Cela inclut la compréhension des autonomies des batteries, des temps de recharge, et des coûts associés à ces nouveaux types de véhicules. 

Que vont devenir nos vieilles voitures thermiques en 2035 ?

À mesure que les véhicules électriques deviendront la norme et que les incitations à l'achat de ces derniers se multiplieront, les voitures thermiques pourraient perdre de leur attrait sur le marché de l'occasion. Cela pourrait inciter davantage de propriétaires à se tourner vers des options plus écologiques, accélérant ainsi la transition vers des modes de transport plus durables. On ne verra jamais de voitures thermiques aussi abordables ! 😅

Cependant, toutes ces transformations ne se produiront pas du jour au lendemain. Le parc automobile actuel est vaste et varié, et de nombreux conducteurs continueront à utiliser leurs véhicules thermiques aussi longtemps que possible. Les autorités devront donc mettre en place des politiques de transition adaptées, incluant des mesures de soutien pour aider les consommateurs à se tourner vers des alternatives plus respectueuses de l'environnement, comme des primes à la conversion, des facilités de crédit ou encore des infrastructures de recharge pour véhicules électriques.

Certains pays sont-ils défavorables à cette loi 2035 ?

plusieurs pays européens sont en fait défavorables à l'arrêt complet des moteurs thermiques d'ici 2035. L'Allemagne et l'Italie sont parmi les plus opposés à cette interdiction.

L'industrie automobile en Allemagne en 2035

L'Allemagne, un des plus grands producteurs automobiles au monde, a fortement contesté l'interdiction proposée par l'UE. Le pays a réussi à obtenir une exception pour les moteurs thermiques fonctionnants avec des carburants synthétiques (e-fuels) au-delà de 2035. Ces carburants sont fabriqués à partir d'énergie renouvelable et de CO2 capturé, ce qui permet de rendre les moteurs thermiques plus neutres en carbone. Cette position vise à protéger l'industrie automobile allemande et à offrir une alternative viable à l'électrification complète des véhicules​. 

L'industrie automobile en Italie en 2035

L'Italie, autre grand acteur du secteur automobile a également exprimé son opposition. Le ministre des Transports italien a qualifié cette interdiction de "suicide économique" pour l'UE, arguant qu'elle bénéficierait davantage à la Chine et nuirait à l'industrie européenne. L'Italie a proposé de réduire les émissions de 90 % au lieu de viser une interdiction totale des moteurs thermiques​. Petite nuance, mais gros impacte ! 😉

L'industrie automobile en 2035 dans les autres pays

D'autres pays européens se sont également alignés contre cette interdiction stricte. Un groupe de huit nations, y compris la France et certains pays d'Europe de l'Est, a formé une opposition commune contre les nouvelles normes strictes, appelées Euro 7, qui doivent entrer en vigueur en 2025. Ces pays estiment que la transition vers les véhicules électriques devrait être plus progressive et prendre en compte les réalités économiques et industrielles de chaque nation​.

En résumé, bien que l'UE vise à réduire drastiquement les émissions de CO2 des véhicules d'ici 2035, l'opposition de certains pays souligne les défis économiques et technologiques liés à une transition aussi rapide vers les véhicules électriques. Cette opposition reflète des préoccupations sur la compétitivité industrielle, l'emploi et l'infrastructure nécessaire pour soutenir un tel changement. Autrement, dit tout cela est un peu trop rapide pour être bien fait. Alors tranquille voyons ! 😌

La loi est-elle déjà repoussée ?

En réalité, l'Allemagne avait bloqué le projet de loi non pas pour revenir complètement sur l'interdiction elle-même, mais pour obtenir l'acceptation de quelques ajustements qu'elle jugeait indispensables. Parmi ces conditions figurait la possibilité d'utiliser des carburants synthétiques pour alimenter les moteurs thermiques (diesel et essence) après 2035. La Commission européenne a récemment accepté cette demande, qui devrait être intégrée dans le nouveau texte de loi. Cependant, rien n'est encore définitivement fixé à ce jour, car les conditions d'utilisation des carburants synthétiques (également appelés e-fuels) doivent encore être négociées. Certains pays roulent bien à la canne à sucre après tout ! 🌿

Conclusion pour 2035 et l'industrie automobile

En somme, bien que la transition vers les véhicules électriques soit inévitable et nécessaire, elle demande du temps, des ressources et une planification minutieuse pour être réalisée efficacement et durablement. L'acceptation par le grand public dépendra de nombreux facteurs, y compris le coût d'achat, l'autonomie des véhicules et la confiance dans les nouvelles technologies. Un endroit où l'avenir restera est clair après 2035, c'est chez nous, que vous rouliez en thermique ou en électrique, on répare tout, directement chez vous ! 😉

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